Rafael Smadja raconte son grand-père, juif égyptien contraint de quitter son pays en 1957
Compagnie Tenseï
Chorégraphie et mise en scène Rafael Smadja
Création musicale live et arrangements Alexandre Daï Castaing
« Depuis le Caire, en passant par Rome et Bruxelles, nous ne devions pas rester en France et finalement... le lundi 21 janvier 1957 nous arrivions à Paris, aujourd’hui nous sommes le lundi 10 septembre 2018 et nous y sommes toujours, enfin presque, Rueil-Malmaison, c’est pas loin de Paris (…) »
El Ged(j)i est un hommage à la transmission, à ce qui nous forge et nous façonne. Rafael Smadja, en résidence au théâtre Jean-Vilar, raconte son grand-père, juif égyptien contraint de quitter son pays en 1957. A travers sa chorégraphie, le petit-fils exprime les idées, les émotions et les coups de gueule de son aïeul. Tantôt improvisés ou tantôt écrites, la musique et la danse hip hop se nourrissent de jeux rythmiques et chorégraphiques. Les sonorités du oud d’Alexandre Daï Castaing se mêlent sur scène à la musique électronique.